Le « volontourisme » et ses dangers : retour sur une expérience que l’on regrette

Ça fait longtemps que je dois partager ici une réflexion que je me suis faite concernant notre expérience de woofing au Népal de décembre dernier, et plus généralement sur le tourisme et ses dérives.

Il me semble qu’il s’agit là du rôle des blogs : parler avec sincérité de ce que l’on vit, mais aussi de ce que l’on regrette. Parce que le temps nous fait évoluer et apprendre, et que parfois une expérience change de couleur avec le recul. C’est le cas de celle-ci, et elle aborde d’ailleurs un aspect très important du tourisme du XXIe siècle. Voilà pourquoi j’ai décidé de revenir sur cette étape de notre voyage.

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Manger au Népal : entre dhal bat et plats Tibétains

Le Népal n’est pas réputé pour sa nourriture. Si on trouve de grandes similitudes avec l’Inde, il s’avère que les plats sont objectivement moins savoureux et surtout moins variés. Dans la culture, on mange surtout pour se nourrir. Le riz, les patates et les lentilles ont dont une place importante.

Malgré tout, les plats népalais sont loin d’être mauvais. Mention spéciale à nos cuisiniers à l’orphelinat pendant notre workaway, qui faisaient des plats généreux, variés et ultra frais pour les enfants de l’association tous les jours ! Je m’attendais à manger des dhal bat matin, midi et soir, mais on arrivait quand même à manger varié.

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Pokhara, le repos des trekkeurs et la recherche de workaway

Avec plus de 255 000 habitants, Pokhara est la deuxième plus grande ville du Népal (après Katmandou, la capitale).

C’est un point incontournable pour les trekkeurs puisque c’est de là que partent la majorité des grands circuits (notamment le Tour des Annapurna). Pokhara est donc la ville que les voyageurs choisissent pour se reposer après leurs treks.

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Journal de bord du Tour des Annapurna – 13 jours de trek dans l’Himalaya

Tour des Annapurna

Après avoir décrit un peu notre expérience de trek dans le circuit des Annapurna, place maintenant au plus dingue : les photos et le détail de notre ascension !

Evidemment, je n’avais pas d’ordi sur place. Mais j’avais emmené un cahier, un stylo et une carte de la région et je notais chaque jour où on était, le trajet parcouru et notre ressenti ou les difficultés rencontrées. Du coup, je peux retranscrire ici mes textes tels quels, en les illustrant des photos prises par Max. Et franchement, ça rend encore moins bien que la réalité !

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